Page:Alexandre Pouchkine - Poèmes dramatiques, Viardot, 1862.djvu/183

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avec des griffes. Monstre, sortez ; et n’osez plus reparaître à mes yeux que je ne vous appelle. (Albert sort.) Et vous, malheureux vieillard, n’avez-vous pas honte ?…

Le baron

Excusez, sire ; je ne puis me tenir debout. Mes genoux fléchissent. J’étouffe, j’étouffe… Où sont mes clefs, mes clefs ?… (Il tombe.)

Le duc

Il se meurt. — Dieu ! quel horrible temps ! Quels cœurs de fer !

La toile tombe.