Page:Allais - À l’œil.djvu/104

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lait le Coucou et que la pioche des démolisseurs a fait disparaître depuis.

Encore un coin du vieux Paris…, etc.

Pourquoi Georges Caron se taisait-il à ce moment, et depuis quelques moments, et quelques moments ensuite ?

Quoi qu’il en soit, ce mutisme nous anormalisa tant et tant, que, d’une clameur commune, nous dîmes :

— Tiens ! Caron n’est donc pas là !


II


Au même instant — saura-t-on jamais pourquoi ? — le sépulcral Ducreux se mit à jacasser, jacasser : telle une nichée de jeunes pies borgnes.

L’abus des boissons fermentées ? ou si c’était quelque autre surexcitation cérébrale ?

Quoi qu’il en soit, cette bruyance nous anormalisa tant et tant, que d’une clameur commune nous dîmes :

— Tiens ! Ducreux n’est donc pas là ?


III


(Comme je vous ai averti plus haut, c’est une histoire d’été.)