Il s’agit d’un monsieur Benoît qui s’est suicidé.
Dans sa coquette maison de campagne de St-Mandé.
Pauvre madame Benoît ! Pauvre fils Benoît ! etc., etc.
Cette pauvre mademoiselle Benoît est également bien à plaindre,
Elle qui allait épouser un riche industriel de l’Indre.
Et le poète termine ainsi :
N’empêche que toute la famille est allée à l’enterrement,
Et il faut avouer qu’il leur était bien difficile de faire autrement.
La dernière production de Franc-Nohain m’a charmé à un point que je ne saurais dire. Elle est dédiée à Notre Mæterlinck, et intitulée : Les Cure-Dents se souviennent et chantent.
Dans ce petit poème d’une exquise intimité, l’artiste se sert de la fiction suivante : les cure-dents qui proviennent de plumes