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L’AMOUR
CHEZ
LES TORTUES SYRIAQUES


Je n’ai pas l’honneur de connaître M. de Cherville, mais je l’aime beaucoup.

C’est lui qui fait passer dans l’austère Temps, de M. Hébrard, comme une bouffée de plein air, comme une bonne odeur de ferme et de jardin.

C’est lui qui vient nous annoncer, dans notre oublieux Paris, que les colzas s’annoncent bien, qu’on aura une bonne demi-année d’orge ; malheureusement, quant aux