Page:Allais - Pour cause de fin de bail.djvu/193

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

en excuser les légères incorrections grammaticales).

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

« Je voulais vous voir à mon passage dans Paris, mais le temps manque et je vous écris ce billet pour vous faire savoir le moyen qu’un de mes amis, qui est un médecin à Anspach, vient de trouver pour débarrasser ses malades du ver solitaire, si ils l’ont.

» Mon intention avait été de l’envoyer à ma revue de médecine de Paris, si j’aurais écrit français mieux et comme un médecin ici.

» Comme on m’a dit que vous êtes très influent, peut-être vous pourriez le publier, ce serait un bon service à rendre pour l’humanité.

» Donc, Herr Professor Ruhlmann, mon ami, a chez lui un gros ver solitaire qu’il nourrit richement et qu’il est en train d’habituer.