progrès les plus récents de la géographie. Enfin, d’importantes omissions que j’avais commises dans un chapitre appartenant aux sciences naturelles m’ont été signalées par un homme éminent, à plusieurs titres, M. Flourens, secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences.
En m’abritant sous de pareils noms, je m’accuse encore : aussi je ne me vois plus de refuge que dans la pureté de mes intentions, dans l’amour et le respect que j’ai voués à la vérité, dans l’espérance qu’on ne trouvera aucune passion dans mes jugements, aucune adulation dans mes louanges, aucune amertume dans mes critiques ; enfin, dans la force et la sincérité d’une conviction qui respire sans doute dans toutes les parties de cet ouvrage : savoir que les progrès de l’esprit humain ne peuvent plus être séparés du triomphe des croyances chrétiennes.