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IV
EN ROUVRANT LES YEUX
n rouvrant les yeux, auprès de ma couche
Qu’est-ce que je vois guettant mon réveil?
C’est de mes soucis le troupeau farouche
Qu’avait un moment chassé le sommeil.
Qu’ils sont loin de moi ces temps d’allégresse,
Dont je n’ai que tard connu la valeur !