Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/182

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amis étaient morts avant lui, personne ne l’accompagna à sa dernière demeure, et moi je n’étais qu’un enfant.

— Quelle chose affreuse que la solitude !

— Chose affreuse, en effet, pensa le soldat de plomb. Mieux vaut pourtant être seul que se voir oublié. »

Vignette de Bertall
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