Page:Andersen - Contes d'Andersen, traduit par Soldi, Librairie Hachette et Cie, 1876.djvu/89

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

« C’est ce que nous saurons bientôt ! » pensa la vieille reine. Puis, sans rien dire, elle entra dans la chambre à coucher, ôta toute la literie, et mit un pois au fond du lit. Ensuite elle prit vingt

Vignette de Bertall
Vignette de Bertall


matelas, qu’elle étendit sur le pois, et encore vingt édredons qu’elle entassa par-dessus les matelas.

C’était la couche destinée à la princesse ; le len-