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La face supérieure, d’un vert foncé, a des nervures très-saillantes de même que la face inférieure, qui est cotonneuse. Leur pétiole, gros, atteint jusqu’à 25 centimètres de long.
Cette variété, placée d’abord chez moi en cep, et dans une position ombragée, a mûri parfaitement son fruit en octobre 1858. Placée en treille au levant, en 1859 et 1861, la maturité était parfaite dans le courant du mois de septembre. En 1860 cette maturité a été retardée jusqu’à la mi-octobre.
Le Vitis Troy nous paraît donc recommandable pour les cultures belges, telle est aussi l’opinion de tous mes collègues, et des amateurs auxquels j’ai soumis cette variété.
A. Royer.
