Page:Anonyme - Essai d’une école chrétienne, 1730.djvu/49

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le second tre , le troisiéme , le quatriéme re, le cinquiéme qui, & les autres de suite & de même, en recommençant jusqu’à ce qu’ils aient fini la leçon qu’ils doivent dire.

D. En épellant ou en syllabant en François, fait-on sonner les consonnes qui sont à la fin des mots, quand les mots suivans commencent par des voyelles ?

R. Non, il ne faut point faire sonner ces consonnes, comme on fait dans la lecture d’un discours suivi, ainsi qu’on le dira dans l’Instruction XXVII.


XIV. INSTRUCTION.
Quelques regles touchant la maniere d'épeller.

D. Quand est-ce qu’une voyelle ou une diphtongue se prononce seule lorsqu’on épelle ?

R. Elle se prononce seule en trois occasions.