Page:Anonyme - Hugues Capet.djvu/438

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

2~6 HUGUES CAPET. P.i6,v.2.Manuscrit~gMr~of!M. P- i8, v. 7 :eMneAe nous par~t le subjonctif picard d’esanter pour <K/npter, comme fnK&e, de mettre, et autres analogues. Le sens est ici, seton nous K !) y aurait grand pfaisir, mais ce plaisir, je m’y suis déjà trop adonné; mieux vaut m’en priver aujourd’hui. » P. 19, v. 4 et :.HM~ compte pour deux sy))abes dans le premier de ces vers, et pour une seule dans le second. De même, dans la chanson de Huon de BorJMNX, it y a un vers ou ce nom m’est que d’une~sytlabe, tandis que partout ailleurs il est de deux. P. 19, v. z~ ~~R Gormüns fy~roM.’A la page suivante, v. y, ce même personnage est nommé GofMOM. C’est le vrai nom de l’un des héros d’un poëme auquel il est plusieurs fois fait allusion par les trouvères et par les troubadours. Sur ce poëme perdù, au moins en grande partie, et qui avait pour titre Gb;mon et Isembart, voirtintroduction de M. le baron de Reiffenberg à la chronique de Philippe Mouskes, t. II,~p. VU, –XXXII, ’p.CGCXXIH, à 83,-98 et 74 L. On y trouvera un fragment de la chanson à laquelle notre poëte fait allusion et plusieurs textes historiques ou autres- qui se rapportentaux deux héros. P.20,V.t: Mais contre eus <<! fors rois Lo~ L’c muet ne s’élidait pas toujours dans la poésie du moyen-âge. On en a.de nombreuses preuves, et notre poëme en particulier en fournit beaucoup comme celle quenoussignalonsici.