Page:Antoine Loysel - Institutes coutumières, 1710, II.djvu/468

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T A B L E , &c. 109. Si cette exception du vice de litige jg lieu pajminous. II. ib :d. V f’£ a S e •• Gc S ue c>cft H* 7f • p’ï/* » : Si un vilain peut être annobli fans Lettres. 1 . 39. Comment on dégradoit un vilain > qui avoit ufurpéla Chevalerie. I. 41. A quoi eft tenu. I. 4$. S’il pouvoit foûtenir que le Jugement rendu par fon Baron ouSeigneur,étoit faux* II. 34*. jrilmns : Quels étoient ceux que l’on appelloïc •vilMins] I. 11. De qui font jufticiablcs. I. 11. Sc 1 1. Dans quel temps le vilain étoit femond, I ) 7 - & 3 8 «  Vil aime : Cequcc’cft. I. ij*. Voir e : Ce que c’eft que haute 3 c balle voiriç,-Ÿ, l- ^ 9 • Voix du Peuple , voix de Dieu : Origine de c«  | f proverbe. II. ij*. Vourte : Ce que c’eft. I. 135. En quelles Coiîtumes l’enfant , après le décès de fon pere , demeure en vouric. I. 137. Gjuid, des francs ou fer fs , des majeurs ou mi- . ncurs. I. xj*. Comment les enfants /orient de vourie. 1. 140. Qutd , des perfonnc$ franches. I. 141. rvfaze : Comment fc prouve aujourd huy* ÏI. 149 . Vfufrutt : A qui appartient Tufufruit des biens d’un homme condamné aq banniflement 014 aux galères. U. 319.