1 volume in-16, broché. Avec 4 figures libres sur bois, dont 3 obscènes, 80 pp. Couverture illustrée non libre, avec ce titre : La Venditrice di Fiori di P. Kock, Roma, 1863, production libre sans intérêt. Le nom P. Kock n’est là que pour attirer l’attention, et il ne s’agit nullement d’une traduction italienne de Paul de Kock. La vogue de Paul de Kock fut si grande en, Italie, que S. S. Léon XIII demanda à Ferdinand Brunetière qui le venait visiter, et cela avant toute bénédiction ou courtoisie oratoire préliminaires : « Et comment va ce bon signor Paôlo dè Koko ?… » Inutile d’ajouter que Paul de Kock (1794-1871) était mort depuis longtemps…
1 volume in-18, de 94 p., broché, couv. impr. La femme publique ou la vie d’une prostituée de la haute société, tel est le titre de l’ouvrage qui fait suite à celui-là.
Il y a à l’Enfer toute une série de ces petites brochures éditées pour le colportage ; ce sont des grivoiseries sans licence, ennuyeuses à lire, mal écrites et sans aucun intérêt, mais au titre prometteur.
Ce Lebrun, si l’on en juge par le nombre des ouvrages de lui auxquels on a fait, bien à tort, les honneurs de l’Enfer, et par le nombre de ceux qui sont annoncés sur les Catalogues imprimés au dos de la couverture, a dû commettre près d’une cinquantaine de sottises de ce genre !
Double du 347.