Page:Apollinaire - L’Enfer de la Bibliothèque nationale.djvu/226

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463. — L’Arétin françois, par Un membre de l’Académie des Dames.

J’appelle un Chat un Chat.
J’appelle un Chat unBoileau.


A Londres, 1787.

1 volume pet. in-18 de 23 p. non chif. et 1 frontisp. et 17 planches libres, gravées par Elluin d’après Borel (non signées). Suivi de :


Les épices de Vénus, ou Pièces diverses, du meme Académicien.


Les plus intolérables sont les plus vicieux.
Les plus intolérables sont (Anonyme).


A Londres, 1787.

Pet. in-12, 1 faux-titre, 1 titre et 53 p. avec 1 fig. libre gravée en taille douce. Les deux ouvrages par Félix Nogaret.

Reliure moderne, maroquin rouge janséniste, larges dent, int., tranches dorées, signée L. Fixon rel. Bel exemplaire, lavé et encollé.

Édition originale. Très rare.

Voir deux réimpressions à 149, avec notre notice, et à 464.


464. — L’Arétin Français, par un membre de l’Académie des Dames. « J’appelle un chat un chat, Boileau. » — Bruxelles, chez les Marchands de nouveautés.

1 volume in-22 de 63 p., broché, sans couv. impr. La plupart des pages impr. d’un seul côté, pour faire vis-à-vis à 17 fig. qui manquent ici, sans doute reproduites d’après celles du no 463. On trouve à la suite quelques Priapées diverses. Réimpression (vers 1865) pour le colportage. Par Félix Nogaret.

Voir, à 463, l’édition originale, et à 149, une autre réimpression, avec notre notice.