Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 3.djvu/445

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édition des Principes, était certainement inexacte ; mais les plus grands géomètres, les Nicolas Bernoulli, les Lagrange, etc., ne se sont pas accordés quand il a fallu dire en quoi consistait véritablement l’erreur de Newton. Indiquer nettement, sans ambiguïté, la source de cette erreur, tel est le principal objet que Brinkley s’est proposé dans le Mémoire dont on vient de lire le titre.

recherches relatives au problème dans lequel on se propose de corriger les distances apparentes de la lune au soleil ou aux étoiles, des effets de la parallaxe et de la réfraction. — solution facile et concise de cette question. — (Lu le 7 mars 1808 à l’Académie de Dublin ; imprimé dans le XIe vol. des Irish Transactions.)

La recherche de la correction de la distance observée exige, suivant les cas, des attentions minutieuses dont les marins sont quelquefois embarrassés. Au contraire, le calcul direct de la distance réduite s’effectue toujours de la même manière. Par ce motif, c’est le calcul direct que Brinkley se propose.

Sa méthode est simple et très-expéditive.

mémoire concernant la parallaxe annuelle de certaines étoiles. — (Lu le 6 mars 1818 à l’Académie de Dublin ; imprimé dans le XIIe volume des Irish Transactions.)

Douze mois d’observation conduisent Brinkley aux parallaxes suivantes :

                                    de l’Aigle 
                                    
                                   Arcturus 
                                    
                                    de la Lyre 
                                    
                                    du Cygne 
                                    

du Dragon passe au méridien une demi-heure seule-