Page:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 3.djvu/454

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sur les distances polaires des principales étoiles fixes. — (Lu à la Société royale de Londres, le 18 décembre 1893 ; Imprimé dans les Transactions philosophiques de 1824.)

M. Pond avait tiré de la comparaison de ses deux catalogues de 1813 et de 1823, la conséquente que toutes les étoiles ont, plus ou moins, un mouvement dirigé vers le sud, Brinkley ne croyait pas à ce mouvement, dans le Mémoire dont je viens de transcrire le titre ; il combat les idées de M. Pond, soit d’après ses propres observations, soit en employant celles des secteurs zénithaux de Wanstead (Bradley), de Schehallien (Maskelyne), de Dunnose (Mudge), du Mysore (Lambton).

remarques sur la parallaxe de de la lyre. — (Lu à la Société royale de Londres, le 11 mars 1824 ; Imprimé dans les Transactions philosophiques de la même année.)

M. Pond avait déduit de la comparaison des observations de Greenwich avec celles de Dublin, la conséquence que les cercles mobiles sont des instruments moins exacts que les cercles muraux. Brinkley soutient l’opinion contraire.

résultats de l’application qui a été faite du collimateur flottant du capitaine kater, au cercle astronomique de l’observatoire de dublin. — (Lu à la Société royale de Londres, le 27 avril 1826 : Imprimé dans les Transactions philosophiques de la même année.

Dans ce Mémoire, Brinkley so propose de prouver que l’instrument du capitaine Kater est susceptible d’une beaucoup plus grande exactitude que les astronomes et les artistes n’ont semblé disposés à le croire.