Le maximum eut lieu le 31 juillet. On commença les vendanges en Bourgogne le 4 septembre. L’été fut très-orageux dans cette contrée. On récolta beaucoup de vin, de qualité moyenne. | |
1691. | Cet été fut excessivement chaud et sans pluie en Italie. (Toaldo.) À Paris il y eut :
Chaleur forte 44 jours. — très-forte 12 — — extraordinaire 5 — Les maxima eurent lieu les 8, 9, 22, 23 et 28 août. On vendangea à Dijon dès le 17 septembre, c’est-à-dire 10 jours plus tôt que la moyenne de 1689 à 1800. Il y eut peu de vin, mais il fut bon. On éprouva aussi, dit Short, de fortes chaleurs et une grande sécheresse à la Jamaïque. |
1693. | On ressentit en Italie des chaleurs excessives à l’époque de la moisson. (Toaldo.) En Angleterre, la chaleur fut intense en septembre ; au milieu du jour elle était intolérable. (Short.) À Paris il n’y eut que :
Chaleur forte 33 jours. — très-forte 9 — En Bourgogne, le printemps avait été très-froid et l’on ne commença les vendanges que le 27 septembre : on eut peu de vin, mais il fut bon. |
1699. | On éprouva le 22 juin une chaleur étouffante en Angleterre. (Short.) À Paris, la moyenne de l’été fut très-élevée : on eut
Chaleur forte 55 jours. — très-forte 5 — Il tomba de grandes pluies en avril et en septembre ; La Hire mesura à Paris 130 millimètres d’eau pendant les trois mois d’été. En Bourgogne, le printemps fut tardif et humide ; il y eut de grandes chaleurs en août. On vendangea à partir du 5 septembre ; on récolta peu de vin, mais il fut bon. |
1700. | On eut à Paris :
Chaleur forte 29 jours. — très-forte 2 — — extraordinaire 2 — |