L’Aérostat,
Le Quart de Cercle mural,
Le Loch,
La Machine électrique,
L’Atelier de typographie.
Nous arrivons déjà ainsi à un total de 109 constellations. Nous ajouterons que l’on est dans l’habitude de distinguer encore la Tête de Méduse, près de Persée ; les Pléiades ou la Poussinière sur le dos, et les Hyades sur le front du Taureau ; la Massue d’Hercule ; le Baudrier d’Orion, nommé quelquefois le Râteau, les trois Rois, le bâton de saint Jacques ; l’Épée d’Orion ; les deux Anes dans le Cancer, ayant entre eux l’amas stellaire nommé l’Étable ou la Crèche ou Præsepe ; les Chevreaux ou les Boucs, placés tout près de la Chèvre, dans la constellation du Cocher.
Il est nécessaire de connaître ces subdivisions, qui portent à 117 le nombre des astérismes que l’on est à peu près convenu d’admettre.
En terminant cette fastidieuse nomenclature, je ne puis que faire remarquer, avec mon illustre ami Alexandre de Humboldt : « la grandeur incommode de ces constellations formées au hasard dans le cours des siècles, sans but arrêté ; l’indétermination de leurs contours ; les désignations compliquées des étoiles composantes pour lesquelles il a fallu parfois épuiser des alphabets entiers, témoin le Navire Argo ; le peu de goût avec lequel on a introduit dans le ciel étoilé la froide nomenclature d’instruments usités dans les sciences à côté des allégories mythologiques. »