Page:Archives israelites 13.djvu/457

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matins. 48 En dépit des écudls semés sur sa carrière, Le penseur l’¢malyna, — il la poursuit en vain : L’h¤mble esprit la pratique, — elle lui tend la main. IH . I1. tsr on nnu vrvuvr! volonté souveraine, ; immuable au milieu de nos vouloirs divers; Au temps comme à l‘espace elle commande en reine; Sa pensée éternelle anime Punivers. Et tandis que s’agite un monde versatile, L’Esprit majestueux en haut règne immobile. U Ce sont là les trois mots sacrés, mystérieux, La croyance que l’homme à l’homme doit apprendre! S’ils ne sont point écrits sous la voûte des cieux, lls sont dans votre cœur, c’est là qu’il les faut prendre! Des trois mots de la foi ta.ntqu’il sont la grandeur, Gloire i l’l1ommel il n’a rien perdu de sa valeur. Traduit de l'allemand, de Schiller, par L. Wooun. mama nas mms un mous. u aux ns rmus, ou 1.s nommm nrssrtnt. Ilya plus dedeux cents ansqa’exixaitàPngae un juifpau- vre, iai pieux et croynt, qui n’anit dfantre occupation que b parcourir, toute la joumée, les rues de la ville, le sac sur le dos, en lhisant entendre de temps à hire •e cri triste: A andre! La nuit il veillait fort tard dans son misérable çabat, più d’ue lampe enfumée, occupé à étudier la loi de Dieu. Cette pauvre industrie était, malgré Péoonomie qui préeilait i tout ches lai, insudlsanse t satisfaire les nombreux besoins de iafunille du Digiiized ny Google