Page:Archives israelites 13.djvu/498

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II! xs: t' t¤"I•`1t¤¤'t•ft33I¤H¤¤'t1§|¤'•!9'1¤•¤ •UIt' *J!••B un au Han Carla main de Dieu, mes frères, o’est appesantie sur Israel! elle est tombée la couronne qui ornùtn0t.retAtel1.·|¤tt“Il't'It:t;1l'ILli'lJ ihlheur à nous, enr nous avonspéehé. gym •3uHg3 #1gEt voili pourquoi notre cœur est hrisépnr la douleur, nl'! ml'! fl? ,717 1;;*; et voili pourquoi nos yeux sont obecurù par les larmes! uuu: uen nâuhr n Cependant, nes frères, ne nturmurous pnseontre les décrets de la Providence. Bnppelous—neus que sa snisàiooide est intiniët '|'Dl'l'l 'ILD NL) tj, qu’il est bon pour tous ceux qui le cherchent et qui espèrent en lui. "n nl! 1t¤l'lLl DD1'11 LPTP1 31U Son âme, l'âme du iuste que nous pleurons, est retournée vers Dieu. Là, elle se détecte à la source de toute lumière et de toute vérité. HFIJNL) 1181 HFHJDLI mn Nous souürons encore, il acessé de souffrir, nous comhattons encore, il a cessé de combattre, il est entré dans le port, et nous sommes encore exposés à la fureur des lots. HHJRI7 '|J81l'lTl'lJDL) tt1i'l_ Mon émotion est profonde , vous la comprenez, mes frères. Cependant puis-je, ou dois-je, comme les amis de Job, me taire àla vue des restes inanimés de cet homme que nous avons tous tantct si profondément aimé! Non !—'t3‘tLI It)11 DTUU5 ny a dit l’Eeclésiaste, a il est un temps pour le silence comme il est un temps pour la parole. » Parler un moment de la vie et des œuvres du juste, n"est-ce pas tirer de cette lugubre solennité d‘utiles in- structions? n’est-ce pas une consolation pour les (ils, quand ils s'entretiennent de leur père 7 Nous monmns tous, disent nos saintes Écritures, et nous allons sans cesse au tombeau, ainsi que des eaux qui se perdent sans retour. Cependant, quoique mort, vous vivez encore pour nous, 6 noble pasteur; la terre et l’o¤bli ne vous euvelopperout pas d`u¤ i _ double Iineoull, nous vous garderons une place, non-seulement dans la mémoire de notre admiration, mais ausi dns la mé- moire de notre amour; car votre vie,.llnrchand Ennery, était une p vie sünte; elle était courte, hélas! trop courte, inak elle était n remplie, bien remplie. Vous étiez notre gloine, la gloire de notre f · I Digitized ny Google J ut . t