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isntrrrns. 559 teurs rabbins ont avancé des opinions opposées, et plus malheu- reusement encore, ces derniers ont eu le dessus et ont même été surpassés dans l’application pratique de leurs idées. Ainsi, comme nous l’avons vu plus haut, la prescription rabbi- nique oblige la femme à cacher ses cheveux des le jour de son mariage, mais on voit parla Mischnah (Sabbath. vr, 5), que les faux cheveux mru; msg sont considérés comme un objet d’or- nement pour la femme. Cependant dans les temps post-talmndi- ques, on ne l’a pas entendu ainsi, et la femme a été condamnée à renoncer à tout ce qui contribue à relever ses charmes. Le temps a fait justice de cet usage comme de tant d’autres, et il faut convenir que nos rabbins n’o nt pas été les derniers à en suivre le torrent. Gnnson Ltvr, délégué cantonal. (Lu suite du prochain numéro).

_ MELANGES. DISTRIBUTION une PRIX A L’ÉCOLE DEB JEUNE! FILLES ISRAÈLITES A Amen. L’Akbar du 9 septembre rend, de cette intéressante cérémonie, le compte suivant : « Alger vient d‘avoir une fête que Paris nous enviera, et qui a dù réveiller les échos endormis de Versailles; une fête charmante, moitié française et moitié orientale, pleine en même temps de _ couleur locale, pleine de souvenirs poétiques et d’originalité. n Mercredi soir, le gouverneur général, le secrétaire général du gouvernement, le préfet, le maire, le recteur de lfAcadémie, le président du consistoire israélite, toutes les autorités civiles et mi- litaires, l’élite de la population, en un mot, était réunie dans la cour du lycée pour assister à la distribution des prix des jeune! filles israélites, et A une représentation d‘E:¢har. - Digitized by Googlc