rsntu·r¤s· 709 idomvmm, ete., sur les israélites, vient d'adresser, il y a quelques jours, au maire du 2• arrondissement 900 francs pour être con- sacrés aux établissements pour les orphelins. - On lit dans le Pays du 18 novembre : · Nous recevons la lettre suivante : Vincennes, le I7 novembre t852. a Monsieur le Rédacteur, n Permettez-moi d`avoir recours à votre bienveillance accoutu- mée pour compléter en le rectiliant, un faitque quelques jour- naux ont publié dans leur numéro du 16 novembre. n Le dimanche, 51 octobre dernier, je me rendis à Paris; j`é- tais porteur d‘une somme de 4,500 francs en or et en argent. Je montai sur l'impériale des Jumelles-Omnibus, voitures qui des- servent Vincennes, et je plaçai derrière moi, sur la banquette, le sac qui contenait mon argent. n Arrivé à la Bastille, au bureau des voitures, je descendis, et, par un oubli que j’ai peine à m'expliquer, je laissai mon_ argent, et ne m’en aperçus qu‘en arrivant chez mon beau-frère, rue Chanoinesse. En proie à la plus viveinquiétude, je m’empressai de me rendre à la rue du Bouloi, où devait s'arrêter la voiture qui mïavait conduit. Là on me répondit qu’on n‘avait pas vu mon sac et qu’aucun objet n`avait été déposé au bureau . n Désespéré, il ne me restait plus qu’à informer l’autorité de la perte que je venais de faire. I1. Collin, commissaire de police de la section Popincourt, que je me plais à remercier publique- ment de la bienveillance qu’il m’a témoignée, reçut ma déclara- tion, et se livra avec moi aux investigations les plus minntieuses ; mais nous n’obtînmes qu’un demi·succès. Après m‘étre rendu à la police de sûreté et après avoir reçu de ces messieurs l’assurance qu’on s’occuperait de mon atfaire avec activité, je dus me résigner et attendre. , n Vers la lin de lasemaine dernière, L1. 1..., Grand·Rabbin du _ consistoire central isréalite, se présenta dans le cabinet de l'un Digitized ny Google
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