Page:Ardouin-Dumazet,Voyage en France 9,1896.djvu/341

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de petites tomes au grain fin et parfumé, fondant véritablement dans la bouche. Il s’en fait aussi un peu sur la rive gauche de l’Isère, même dans la haute et froide vallée de Rencurel[1].

  1. J’allais quitter Saint-Marcellin pour le pays du Villard-de-Lans quand une dépêche m’a rappelé à Paris. Je comptais revenir bientôt, mais des mois sont passés avant que j’aie pu retourner dans la vallée de l’Isère et achever cette partie de mon voyage. A.-D.