206 THÉÂTRE D'ARISTOPHANE.
vers si laids : le méchant Xénoclès, de méchaats; le froid Théognis, de froides poésies»
AGATnON.
C'est de toute nécessité. Aussi, qumd j'ai va cela, j'ai soigné ma personne avec toutes sortes de recherches,.
mnësiloque.
Au nom des dieux, comment ?
EURIPIDE.
Cesse, cesse de tant aboyer. Je n'en usais pas autre- i ment, quand j'ai commencé à composer mes tragédies. ]
MNÉSILOQUE.
Certes, je ne suis pas jaloux de ton éducation. i
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EURIPIDE.
Laisse-moi donc dire le motif qui m'amène. \
MNÉSILOQUE. \
Dis. \
EURIPIDE. \
Agathon, « il est d'un sage de savoir dire beaucoup de ■ choses en peu de mots *. » Accablé de nouveaux revers, . je viens me jeter à tes genoux. \
AGATHON. ( \
En quoi as-tu donc besoin àe moi? • ;
EURIPIDE. 1
Les femmes, sous prétexte que je ne les épargne pas, | ont résolu de me perdre aujourd'hui pendant la solennité \ des thesmophories. !■
- Parodie de deux vers de YÈole d'Earipide, pièce peMue* . ^
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