Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/168

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Je marche vers la mort et j’adore la vie !
Et, vers toi, mon amour, mon être palpitant
Pousse un tel cri brûlant de soif inassouvie
Que tu devras frémir d’orgueil en l’écoutant !