Page:Auger - Mélanges philosophiques et littéraires, tome 1.djvu/6

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AVIS

L’homme de lettres qui, dans l’intérêt du public et de l’amitié, s’est chargé de recueillir et de classer ces écrits appartenant à des temps si divers, et que l’on remarquera pour la constance des doctrines philosophiques, a cru qu’il convenoit de n’attacher qu’au der- nier volume de cette collection l’analyse et le jugement de cette espèce de supplément à tous les traités et à tous les cours de littérature. Comme cet ouvrage est un livre de bonne foi, on a pensé que les lecteurs n’avoient pas besoin de la recommandation d’un Prospectus, qui eût paru contraster avec la franchise connue de l’honorable académicien. A la fin du Recueil, au contraire, la Notice, qui est utile à l’ouvrage, n’aura pas l’air d’être nécessaire à l’écrivain dont elle résumera les travaux, et elle sera plus facile-