et chez les modernes. Genre et mérite particulier des élégies de Millevoye 308
M. BAOUR DE LORMIAN. — Vogue extraordinaire qu’ont eue les Nuits d’Young. — Jugement sur cet ouvrage, plusieurs fois traduit en vers françois. Imitation abrégée qu’en a faite M. de Lormian 316
M. CREUSÉ DE LESSER. — Révolution opérée dans notre littérature et principalement dans notre poésie. — La chevalerie considérée dans sa réalité et sous son point de vue idéal. — Avantages des fictions chevaleresques. — Romans de chevalerie. — Jugement sur le poëme de la Table ronde. 321
CHANSONN1ERS. — De Piis. — Despréaux. — Désaugiers. —Exactitude du style et richesse de la rime portées peut-être trop loin dans la chanson. — Abus des mots donnés. Fatigante répétition des vieilles épigrarnmes en couplets, contre les diverses professions. — Chansons faites sous l’empire par ordre de la police 334
ORIGINE DU ROMAN. — Causes du plaisir que procure ce genre d’ouvrages. — La disposition la plus favorable pour la lecture des romans. — Ce sont les femmes qui en produisent et en consomment le plus. — Les qualités et les défauts qu’elles apportent dans ces compositions. — Rapports nombreux entre le roman et le genre dramatique. 355
LES AMOURS DE PSYCHÉ ET DE CUPIDON. — Origine de cette fable. — Sujets qu’elle a fournis à tous les arts. — Explications morales qui en ont été données. — Elle tient le milieu entre le merveilleux de la mythologie et celui de la féerie 368
LES MILLE ET UNE NUITS. Elles devoient naître chez un peuple conteur tel que les Arabes. — Elles sont encore