Aller au contenu

Page:Auguste de Gérando - La Transylvanie et ses habitants, 1845, Tome II.djvu/305

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

taient ces Valaques aux longs cheveux que vous savez.

À la fin d’août Radna reprend sa physionomie habituelle. Chaque jour voit partir une calèche suivie de l’indispensable fourgon, car on ne peut séjourner aux eaux qu’à la condition de se munir des choses les plus nécessaires. Pour moi, qui voyageais avec le moins de bagage possible, j’aurais été pris au dépourvu et me serais trouvé fort embarrassé si le capitaine Hatfaludi, commandant le détachement du régiment-frontière, ne m’eût accueilli en véritable Hongrois.