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Chap. XI, 34.

LIVRE DES JUGES.

Chap. XIII, 3.

defaite. Et les fils d’Ammon furent abaisses devant les enfants d’ Israel.

Jephte retourna dans sa maison a 

Maspha ; et void que sa fiile sortit a sa rencontre avec des tambourins et des danses. C’etait son unique enfant ; hors

d’elle, il aavait ni fils ni fille. Des qu’il 

la vit, il dechira ses vetements et dit : k i Ah ! ma fille, tu me renverses et tu es parmi ceux qui me troubient J’ai ouvert ma bouche a Jehovah, et je ne puis remon secours, j ? ai risque ma vie et j’ai marche contre les fils d’Ammon ; et Jehovah les a livres entre mes mains, Pourquoi done etes-vous monte aujourd’hui vers moi pour me faire la guerre ? " Jephte rassembla tous les hommes de Galaad et livra b ?taille a Ephralm. Les hommes de Galaad battirent ceux

d’Ephralm, car ceux-ci avaient dit : Vous n ; etes, o Galaadites, que des fugitifs d’Ephraim, au milieu cTEphralm et

ennemis, les fils d’Ammon. " Etelledit ils lui demandaient __ 

a son pere : ’ « Que cette grace settlement mite ? " il repondait : * * Non. " lis Tui dime soit accordee : laisse-moi libre pen- saient alors : "Eh bien, dis : "Schibdant deux mois ; je m’en irai, je descen- boleth. M Et il disait : "Sibboleth," ne drai pour aller sur les montagnes et je I reussissant pas a bien prononcer ce mot. pleurerai ma virginite avec mes compa- j AussitSt les hommes de Galaad le saisis- $ gnes." II repondit : l * Va ; " et il la saient et l’egorgeaient pres des gues du laissa aller pour deux mois. Elle s’en I Jourdain. II pent en ce temps-la quaalla, elle et ses compagnes, et elle pleura rante-deux mille hommes d’Ephratm.

sa virginite* sur les montagnes. Les j Jephte, le Galaadite, jugea Israel pen-deux 

mois ecoules, elle revint vers son ! dant six ans, puis il mourut et fut enpere, et il accomplit a son egard le voeu . terre dans Tune des villes de Galaad. qiril avait fait ; et elle n’avait pas connu I Apres lui, Abesan de Bethleem fut d homme. De la vint cette coutume en I juge en Israel. II eut trente filset trente Israel : chaque annee les filles d’Israel j filles ; il maria ceUes-ci hors de sa maivont celebrer la fiUe de Jephte, le Galaa- 1 son, et il fit venir du dehors trente filles dite, quatre jours par an. I pour ses fils. II jugea Israel pendant sept f-CHAP. *1L-Guerre entre Epkraim *£i ^L^™ m0UfUt * M m ’ IO S

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et Israel. Mori de Jephte*. Abesan. Ahialon. Abdon.

Les. hommes d’Ephralm, s’etant rassembles, 

passerent vers Saphon et dirent a Jephte : "Pourquoi es-tu alle combattre les fils d’Ammon, sans nous avoir appeles a marcher avec toi ? Nous

allons brula sur toi ta maison." Jephte 

leur repondit : **J’6tais, moi et mon peup }e, en grande contestation avec les fils d’Ammon ; alors je vous ai appeles, mais vous ne m’avez pas dflivrt de leurs

mains. Voyant que tu ne venais pas a 

Apres lui, Ahialon de Zabulon fut j uge 1 1 en Israel ; il jugea Israel pendant dix ans ; puis Ahialon de Zabulon mourut et fat 12 enterre a Ajalon, dans le pays de Zabulon.

Apres lui, Abdon, filsd’Illel, de Pha- 13 rathon, fat juge en Israel, n eut qua- 14 rante fils et trente petits-fils, qui montaient sur soixante-dix anons. II jugea Israel pendant huit ans ; puis il mourut 15 et fut enterrt a Pharathon, dans le pays d’Ephralm, sur la montagne des Amalecites.

§ V. — SAMSON.

P-chap. xin.- Naissaneede Samson, j fc U Jf ^ "" • ! ? omme de &***> <* e la 2 10 T r 4 Jt _ _ immille des Damtes, nomm£ Manu6 ; sa

i-es enfants d Israel firent encore ce ! femme &ait sterile et ne lui avait pas 

qui est ma ! aux yeux de Jehovah, et I donn£ d’enfant. L’Ange de Jehovah jeiiovah les livra entre les mains des apparut a la femme et lui dit : " Tu es t J ni !istuis pendant quarante ans.

  • M<* virginiU % le malheur de ne pas avoir

d enfants (Lev. xxi, 13). Joseph* die, ma jennesse, le malheur de mourir a la fleur de I’aae. Xll>6. Schitooltth, c-a-d. torrtnt, peut ?Uc ^«.„ «.^ . WUIC Uf : t c aussi //i(Vulg.). Les Ephralmites pronongaient ! de Galaad, Mwpha.

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sterile et sans enfant ; mais tu concevras ce mot comme si la premiere lettre etait ua samec oa un «>i t tibboUth x et non un sckm. . Dans rune des villes ; peut-elre faat-il lire baari anc forme de Fetat cdhstr.X dans savf lie