Page:Augustin Crampon - La Bible, édition en un volume, Desclée, 1904.djvu/299

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Chap. XIV, 14.

Il-e LIVRE DE SAMUEL.

Chap. XV, 5.

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commc des eaux repandu™ I t^T* I ^aS^X^ *#* *° ? r Gessur ’ * uui ae se rabble !* ph*" & ?&£ t rtSP.^ft J^SS. maf "* la vie, et son dessem est que le fucitif ne <^n m .wn «1 - • * ?^ mm " que Jehovah, ton I) eu srit av«S » I^, ?^"" 6 fem T beUe de fi ^ re -

  • Lc roi repondit « ^Xe : ; la^StlftSt^"" fe

.9 seigneur le roi pa ?™ Et «e ro ! aT de iui n te S" f *".,* rendre auprts " l-i main de Joab n’est-elle «. ave^ f«- ,’ 1 L I demander u «e «conde uii dans tout «ci > " L fi T 1 ’ * J ° ab I ^ usa encore - Absalom dit pondit : "AuU^rai que ton W £ iT^f 6 ™^ ? : " Vo >-«. «e champ vivante, 6 mon se£e«2 le S H’v ’ £ I b "* s !, Cote du mien : ils > *"»"* ricn a droite ni fgS de tou t « que J^ffi’ JaE^ ’* ft",* ,eS dit mon seigneur le roi Qui cest ton : * ?™„ 1 L , m mi ^ ent le feu au serv iteur JoTqui m^nne’d^dr™ ! fflfi. Ss^mkf^f l ! ^dT ,o KeTtatrfan^ ^p^fe^^ -vS^i^^ ,e vciix « .rinn I" g • tes ,a lace oontre terre Levant le roi ct le juix, 10., mon seigneur, puisque le , rot baisa Absalom. § II. - RE VOLTE D’ABSALOM [XV -XVIII].

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niAP. xv. — Matutuvres d’Absalom : sa rh>olte. Fuitc de David.

A pros cela, Absalom se procure an 

«iar et des chevaux, et cinquante horn-- mes qm couraient devant lul Toujour* jfvc de bonne lieu re, il se tenait pres de lorn l’appelait et disait : " Dc quelle ville es-tu ? * Lorsqu’il avail repondu : "Ton serviteur est de telle tribu d’IsraeV’ Absalom lui disait : " Vois, ta cause est bonne et juste ; mais personne ne t’ecoutera de la part du roi." II ajoutait : "Qui Avenue de la wrte^et chaau7fois^,m !l eta * ! lira H* dans ^ Pays ! Tout horntomme avant in Vroc^ ? m ^nd ?i ?v^ " C V ^F** ™ P ro ^ «unc affaire u> rni ^. :r I l,. un . proccb . * rcndait ve rs viendraitamoi,etjeluirendraisjusUce." Et lorSQUe atiolnu’iin c’annn^Knlt ^,..- «■ roi pour obtenir un jugement, Absamnnfif ’ ^"^ w " € ff r *y**> «n demandant monfih pour | c ?c ttre a mort. Vulg. t7 > ^ Et lorsque quelqu’un s’approchait pour ptuftt : S. J^rdme a pris ytrouni part de yar* cnundra, pour le futur de ramA t voir.

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