Page:Aulnoy - Contes des Fées (éd. Corbet), 1825.djvu/659

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avec le prince Chéri. L’on envoya quérir le corsaire et sa femme, pour les récompenser encore de la noble éducation qu’ils avaient donnée aux beaux enfants. Enfin après de longues peines, tout le monde fut satisfait.