Page:Austen - La Nouvelle Emma T1 et 2.djvu/296

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de Londres, Monsieur, je ne dîne jamais chez personne. »

« En vérité, dit-il, d’un air d’étonnement et de pitié ; je n’aurais pas cru que les gens de loi fussent réduits à un pareil esclavage ! Mais, Monsieur, il viendra un temps où vous serez récompensé de toutes ces privations ; alors vous aurez moins de travail et plus de plaisir. » Le premier plaisir que je ressentirai, sera quand je serai de retour sain et sauf à Hartfield. »



FIN DU PREMIER VOLUME.