gances de votre amie la comtesse de Fiesque ?
Elle répondit qu’elle était fort fâchée qu’elle lui eut déplu, pleura toute la nuit et se leva de grand matin.
Le matin même la comtesse de Fiesque partait pour Paris.
Enfin ce fut le tour de madame de Frontenac ; une première séparation eut lieu entre elle et la princesse, ce fut à l’occasion d’un procès que celle-là avait avec sa belle-mère et qui nécessitait sa présence à Paris. Cette séparation se fit sans éclat et assez amicalement ; la princesse la chargea même de quelques commissions pour la ville.
Rendue à Paris « madame de Frontenac me fit l’honneur de m’écrire, dit la princesse, pour me rendre compte des commissions que je lui avais données, je lui répondis là-dessus précisément, et quand mes lettres étaient plus longues elles