Page:Béranger - Chansons anciennes et posthumes.djvu/490

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


L’ORPHÉON


LETTRE À B. WILHEM, AUTEUR DE LA NOUVELLE MÉTHODE DE L’ENSEIGNEMENT MUSICAL APRÈS LA DERNIÈRE SÉANCE DE L’ORPHÉON DE 1841


Air :


Mon vieil ami, ta gloire est grande
Grâce à tes merveilleux efforts,
Des travailleurs la voix s’amende
Et se plie aux savants accords.
D’une fée as-tu la baguette,
Pour rendre ainsi l’art familier ?
Il purifiera la guinguette ;
Il sanctifiera l’atelier.