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C. E. CASGRAIN.

les différents membres du Cabinet, et après avoir consulté plusieurs amis éclairés du clergé et autres, qui le pressèrent fortement d’accepter cette charge importante, il finit par se rendre à leurs avis, et entra de suite en office.

Ses affaires domestiques l’ayant obligé de revenir à la Rivière-Ouelle, il en profita pour prendre congé de ses connaissances et de ses amis, qui voulurent bien lui présenter quelques adresses.[1]

Je laisse aux journaux du temps à vous redire l’impression que sa nomination produisit sur l’esprit du public.

Le Canadien du 17 juillet 1846 publiait d’abord ce qui suit :

« On dit que M. C. E. Casgrain, écr., de la Rivière-Ouelle, va être nommé second-Commissaire des Travaux-Publics.

  1. Voir ces adresses à la fin de l’ouvrage.