Page:Bacon - Œuvres, tome 11.djvu/282

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APPROXIMATION.

À cette fin se rapportent quelques-unes de nos observations sur les vents qui peuvent nuire, soit par leurs qualités mêmes, soit en abattant les fleurs, les fruits, les grains, etc. et sur les temps où ils sont le plus nuisibles. Voyez sur ce sujet notre réponse à la question qui est l’objet de l’article 19.

6e. PROBLÈME.

Autres pronostics à faire chaque année, relativement aux pestes, aux maladies contagieuses ou épidémiques, de toute espèce, etc. Si l’on pouvoit découvrir des règles sûres qui servissent de base à de tels pronostics, cette invention fourniroit aux médecins des indications plus précises, et les mettroit en état de découvrir les causes des maladies de ce genre, et par conséquent d’y bien approprier le traitement ; outre une infinité d’autres applications aux différens besoins de la vie, et dont elles seroient susceptibles.