Page:Bacon - Œuvres, tome 11.djvu/309

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J’ai dit, dans mon essai, que l’impression des apsides, quelle qu’elle fût, devoit arriver à son maximum dans les points cardinaux du zodiaque, et j’en ai dit ci-dessus la raison. Il suit de là que les années qui répondent à cette situation de l’apogée, doivent avoir quelque chose de singulier et d’extraordinaire dans les saisons, et dans les effets de ces saisons, tels que maladies et récoltes.

Rappelons-nous donc que l’apogée, en faisant sa révolution entière de huit à neuf ans, passe, en quatre ans, d’un solstice à l’autre, et d’un équinoxe à l’autre : mais, en deux ans, d’un équinoxe à un solstice, et d’un solstice un équinoxe.

Le célèbre Lambert avoit déjà observé, sur les hauteurs, apogées et périgées du baromètre, et l’observa encore mieux sur notre table, que les plus grands défauts, dans les hauteurs apogées, se succèdent de quatre en quatre ans, l’apogée lunaire étant dans les équi-