rayons lunaires, et en plaçant entre l’autre et ces rayons, un corps qui fit ombre, et équivalent à un parasol ; puis il faudroit voir laquelle de ces deux eaux se refroidiroit le plus vite. Enfin, il faut tâcher de découvrir un moyen pour extraire de l’air ce foible degré de chaleur qui s’y trouve naturellement. Ce seroit une découverte admirable, et qui serviroit à refroidir à volonté la température de l’atmosphère.
Dans les articles précédens (n°. 27), nous avons décrit un procédé pour convertir l’air en eau. Mais, comme il s’agit ici d’un des plus profonds mystères de la nature, et qui, une fois dévoilé, mettroit en état de produire de puissans effets, et seroit susceptible d’une infinité d’applications utiles, nous allons donner quelques exemples qui répandront plus de jour sur cette matière.
76. Au rapport de quelques anciens,