Page:Bacon - Œuvres, tome 7.djvu/485

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traire celles qui d’abord plaisent le plus, sont aussi celles qui amènent le plus promptement le dégoût et la satiété.

Fin du septième volume.

    ple, des coups de bâton et des critiques, deux choses que l’habitude n’apprend point du tout à digérer, et qui par conséquent s’emboîtent fort mal dans sa règle. Il faut donc la limiter en disant que ces choses qui, après avoir déplu pendant quelque temps, plaisent ensuite par degrés, sont celles qui peuvent augmenter nos avantages : tels que santé, beauté, force, adresse, courage, talens, réputation, fortune, puissance, etc, et auxquelles, par cette raison, fondée ou non, nous attachons une idée de bien, de perfection, etc.