Page:Balzac - Une rue de Paris et son habitant, 1845.djvu/14

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

sez à autre chose ; et vous, si sobre, vous mangez alors comme si vous n’aviez pas de pain chez vous. Tâchez de ne pas faire attendre votre belle-sœur, Mme Vernet ; autrement, on ne vous laisserait plus aller seul, et ce serait une honte pour vous…

Mme Adolphe regagna le seuil de la petite porte et de là surveilla son maître, à qui elle fut obligée de crier : « À droite ! à droite ! » en le voyant aller du côté de la rue Notre-Dame-des-Champs.

— Mon Dieu, c’est pourtant un savant…, à ce qu’on dit, reprit-elle. Comment a-t-il fait pour se marier ? Je le demanderai à Madame en la coiffant.