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avant-propos

sur lequel Victor Hugo n’a pas mis sa main souveraine : car, en fait de forme à renouveler, il nous a laissé si peu de chose à tenter après lui !

Pour l’intelligence même des poëmes qui suivront, il était indispensable de donner au lecteur une Histoire de la Ballade ; mais ceci est œuvre d’érudit et de savant. Avec une compétence que personne ne mettra en doute, mon excellent ami Charles Asselineau a bien voulu entreprendre ce travail si intéressant, et il me semble qu’il a définitivement élucidé et épuisé la question, dans les pages qu’on va lire.


Théodore de Banville.


Juin 1873.