Cette page n’a pas encore été corrigée
Car dans nos demeures,
Tandis que tu pleures,
Les jours et les heures
Sont tout aux festins !
Une longue danse
Entoure en cadence
L’éternel repas.
La danseuse penche
Doucement sa hanche,
Et sa robe blanche
S’ouvre à chaque pas !
Les foules ravies
Aux tables servies
Des plus riches mets,
Parmi la paresse
Où l’amour les presse,
Goûtent une ivresse
Qui ne meurt jamais !
Un harem frivole
Dont le chant s’envole
Jusqu’au ciel riant,
Pour sa grande orgie
Hurlante et rougie
À la Géorgie
Et tout l’Orient !