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autre les robes de Frou-Frou et de Cidalise, et pourrait même appliquer aux chefs-d’œuvre sa diction fine et juste. Mais les femmes, comme les livres, ont leurs destinées ; et celle-là, née peut-être pour boire l’ambroisie, en est réduite à se désaltérer avec l’infernale piquette des vaudevilles à la douzaine, qui doit lui agacer les dents comme le jus d’un citron vert.