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IV

UNE MAÎTRESSE-SÉRAIL


L’appartement dans lequel Oliva-la-Rousse fit pénétrer M. de Prosny ne ressemblait guères à un appartement de femme. Si on en croyait les récits du vicomte à madame d’Artelles, la señora était peut-être d’un ordre un peu plus élevé que toutes celles qui font tomber des sequins en agitant leurs jupes ; mais, après tout, disons le mot, le monde, qui ne veut que des situations expliquées, l’appelait une courtisane. Eh bien, l’aurait-on dit en entrant dans cet appartement si fier et si sombre