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M. THÉOPHILE GAUTIER[1].




I


Je viens le dernier pour parler du Capitaine Fracasse[2]. Tout le monde l’a loué hyperboliquement, d’une seule voix, excepté pourtant un critique que j’honore pour la fermeté de son esprit et pour son indépendance (M. Alphonse Duchesne, du Figaro), car le monde est si comiquement fait, que c’est presque une hardiesse, à cette heure, de se livrer au mouvement d’une critique vive et franche sur un livre de M. Théo-

  1. Le Capitaine Fracasse
  2. Ce chapitre a paru dans le journal le Pays.