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TERCETS


La fenêtre m’attriste, ce soir.


I


Au pays des champs bleus et des choses heureuses,
Allez, ô mes oiseaux, dans le soir qui s’endort
Sur vos cœurs désolés et vos ailes peureuses.

Le chagrin de la vie est doux comme la mort…
J’entends pleurer les chants et les rumeurs fiévreuses
De la vieille cité debout dans le ciel d’or !