Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/115

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Ô porteurs incertains des armes et des lyres,
Cherchons l’apothéose et le souverain bien
Sur le chemin de gloire où sont les vrais martyres.

Je vois qu’il va mourir ce passé qui fut mien,
Je vois que mon grand soir ternirait vos sourires,
Que je suis malheureux, et que je ne veux rien.