Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/163

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


LA HAINE


Nous n’avons rien qui nous unit !

Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Page:Barbusse_-_Pleureuses,_1920.djvu/163&oldid=13982822 »