Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/81

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De par la paix infinie,
Usé de ne plus te voir,
J’entrerai dans l’agonie
Petit à petit, le soir.

Il faudra bien du silence
Et dans le calme dormant,
J’aurai l’autre rêve immense :
Je croirai, tout doucement.